Considered at an early age as an anti academic child. I was oriented towards dance to compensate for my difficulties of expression. The orientation was good since my first teacher quickly referred me to Madame VILLABELLA , a teatcher at the Paris Opera Ballet School .
After the selection course, I was integrated in the school which was then within the Palais Garnier. In addition to the excitement of the shows
(ballets and opera productions), the place encouraged me to
to rummage around in the nooks and crannies up to the forbidden roofs, the workshops of the prof-makers, and to let my imagination wander in this
"ROCOCO " architecture
embellished by the paintings of the Petit and grand foyer , and the Chagal ceiling
I lived in the dazzle of the costumes, the sets,the music.
At the end of each performance I would rush to pick up the fallen cabochons and sequins that had fallen from the costumes
The first jealously guarded treasure with no precise goal.
My father-in-law, a painter, took me to exhibitions and fairs very early on. I was able to hear the exchanges between artists, especially in the movement of Jean DUBUFET, on Art Brut I was able to hear the exchanges between artists, especially in the movement of Jean DUBUFET, on Art Brut, naive, spontaneous and singular Art ... which at the time had no particular meaning for me. To complete our artistic training, we had courses in the history of dance, given by Mme G. Prudhomeau, a researcher at the CNRS; courses in the history of theatre by M.J.Marie Villégier, a director whose most recent work is Atys by Lully. Courses in Anatomy applied to Dance, as well as drawings by Mrs G.Bordier, also a researcher at the CNRS. It is G.Bordier who was the first to encourage my taste for creation through ( drawings, masks, puppets )
She even sent one of my drawings to Japan. During the prize-giving ceremony at the college,
I received the fifth prize medal of the 8th International Children's Exhibition!
I found in this accumulation of strong sensations due to the sets, the lights, the music played by the National Orchestra of the Paris Opera, and even more so to the costumes of the ballet evenings, which were very different from the ones I had seen before.
The costumes of the ballet evenings, whose glitter and costumes dazzled us , an inexhaustible reserve for the different forms of plastic expression that I have already touched on.
This richness will be structured very quickly to lead to a first exhibition
of masks in Tours, three years after my graduation.
Considéré très tôt comme enfant a-scolaire, j’ai été orienté vers la danse pour pallier àmes difficultés d’expression .
L’orientation était bonne puisque mon premier professeur m’a rapidement adressé à Mme VILLABELLA
professeur à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris.
Après le stage de sélection, j’ai été intégré dans l’école qui était alors au sein même du Palais Garnier.
Outre l’effervescence des spectacles
( ballets et productions d’Opéra ), le lieu incitait à fureter dans les coins et recoins jusqu’aux toits interdits, les ateliers des accessoiristes, véritable caverne d’Ali Baba, et à laisser vagabonder mon imagination dans cette architecture
« Rococo »,
agrémentée par les peintures du Petit, du Gand foyer, et du plafond de Chagall.
J’ai vécu dans l’éblouissement des costumes, des décors, de la musique.
A la fin de chaque représentation, je me précipitais pour ramasser les cabochons et paillettes tombées des costumes.
Premier trésor jalousement gardé sans but précis
Mon beau père, Artiste Peintre, m’a très tôt fait visiter des salons et expositions; j’ai pu entendre les échanges entre Artistes, spécialement dans la mouvance de Jean DUBUFET, sur l’Art Brut, Art naïf, spontané et singulier ...ce qui à l’époque n’avait pour moi aucune signification particulière.
Pour compléter notre formation Artistique, nous avions des cours d’histoire de la Danse, dispensé par Mme G.Prudhomeau chercheuse au CNRS ;
Des cours d’histoire du Théâtre par M.J.Marie Villégier metteur en scène dont la plus récente est l’ Atys de Lully...Des cours d’Anatomie appliquée à la Danse, ainsi que de dessins par Mme G.Bordier, également chercheuse au CNRS.
C’est G.Bordier qui fut la première à encourager mon gout pour la création à travers différents média :
( dessins, Masques, Marionnettes, ).
Elle envoya même l’un de mes dessin au Japon. Lors de la remise des prix au collège, Je reçu la médaille du cinquième prix du 8 Eme Salon International
de l’enfant !
j’ai trouvé dans cette accumulation de sensations fortes dues aux décors,
aux lumières, à la musique jouée par l’Orchestre National de l’Opéra de Paris,
et encore plus aux costumes des soirées de ballets dont les paillettes, les costumes nous éblouissaient, une réserve inépuisable pour les différentes formes d’expressions plastiques que j’ai déjà abordées.
Cette richesse se structurera très vite pour aboutir à une première exposition
de masques à Tours, trois ans après ma sortie de l’Ecole